Voici un article publié par Marc Allard du journal Le Soleil, il démontre quelle est la différence entre les patients en région par rapport à ceux des villes. La population est désavantagée lorsque le territoire est desservi par une ambulance sur un horaire de faction, comme si les ambulances roulaient à deux vitesses au Québec.
« Au Québec, les victimes de traumatismes physiques sont trois fois plus à risque de mourir si elles sont soignées en milieu rural plutôt qu’en ville, selon une étude parue en 2019 dirigée par
l’équipe du Dr Richard Fleet, titulaire de la Chaire de recherche en médecine d’urgence Université Laval – CISSS Chaudière-Appalaches. […] Les horaires de faction n’aident pas non plus, remarque-t-il. « Il faut vraiment optimiser les temps de réponse », dit le Dr Fleet. »
Bonne lecture!